mardi 5 décembre 2017

Chronique d'un redoublement : 125. Une tannée méthodique pour une fessée d'anthologie...

SUITE 124

Je m'étais avancée vers les genoux maternels, en marchant presque normalement, comme si c'était une évidence, consciente au fond de moi que je n'échapperais pas à une nouvelle fessée...
Il est vrai que j'avais déjà descendu les escaliers sans que Maman n'ait à hausser le ton, ni à me le rappeler trois fois...
Mon regard se fixait sur les genoux de Maman, et sur sa main droite qui semblait pianoter une sorte de musique envoûtante qui aurait dit : "Allez, viens ici, viens Christine, viens recevoir ta fessée..."


 La main de Maman me montrait où venir m'étendre...
J'étais venue presque sans tarder, consciente que 
je n'échapperais pas à cette nouvelle fessée..

Je n'allai pourtant pas jusqu'à m'étendre moi-même en travers des cuisses de Maman, arrêtant ma progression à quelques centimètres d'elle, sans même esquisser de mouvement de recul, quand Maman m'attrapa le poignet pour m'attirer vers elle, où elle n'allait pas tarder à me basculer en position...
"C'est bien, Christine, c'est bien", commenta toutefois avant Maman, positivement étonnée que je ne fasse pas plus d'histoires. "Nous allons régler nos comptes cette fois, ma grande, et ça va barder, tu peux me croire".
Je suppliai : "Maman, s'il te plait, pardonne-moi. Je sais, j'aurais pas dû, c'est pas bien, mais je le ferai plus, promis".
Elle répliqua : "J'espère bien, ma fille, que tu ne recommenceras plus... J'en suis même sûre, après la fessée que tu vas recevoir et que tu as bien méritée. Allez, assez discuté, passons aux choses sérieuses". Et en me tirant par le bras, Maman m'allongea sur ses genoux, que je retrouvais après la première déculottée de plus tôt dans ma chambre...


Maman me bascula en position, sur ses genoux
que je retrouvais après la première déculottée dans ma chambre...

Par réflexe, je me cabrai et posai ma main droite sur le bas de ma robe, comme pour me protéger, pour retarder la suite...
"Chris-ti-ne !", mon prénom fusa de la bouche maternelle, détachant les trois syllabes sur un ton excédé. Elle n'eut même pas à ajouter : "Lâche ça" que je retirai de moi-même mon bras, laissant ainsi libre cours à la volonté maternelle. 
"Bon, c'est bien, Christine, tu comprends que tu n'as pas intérêt à m'empêcher de te punir comme je veux. Tu sais très bien que cela ne ferait qu'aggraver ton cas... Allez, dégageons donc ces fesses..." ajouta Maman.
La détermination maternelle soulignée par le ton de sa voix, et tout ce discours qui avait souligné combien la falsification de signature était grave aux yeux de Maman, tout cela me paralysait en quelque sorte, bloquant la plupart des gestes de défense que j'avais pour ainsi dire l'habitude de faire quand Maman commençait à "s'occuper" de mon cas.
Et puis, il y avait aussi, dans ma tête, l'avertissement maternel qui sous-entendait que si je ne me laissais pas faire, elle attendrait le retour de mes soeurs... Une perspective que je ne voulais surtout pas voir se réaliser...
Alors, à la grande satisfaction de Maman, son ainée, cette fois, n'allait l'empêcher en rien de préparer ses fesses à la dégelée promise...


Maman prit son temps pour bien dégager ma lune...
Chaque détail montrait que cela n'allait pas être une fessée expédiée,
mais bien une tannée magistrale... 

Basculée en position, je fermai les yeux, me retenant même de supplier, et senti Maman attraper le bas de ma robe, le remonter à mi-dos, puis baisser ma culotte par derrière, ce qui me fit frissonner, avant de me soulever un peu pour tirer vers le bas aussi l'avant de ce dernier rempart, ma culotte se retrouvant entre mi-cuisses et mes genoux. Cela ne faisait qu'amplifier cette sensation particulièrement marquante d'être pour ainsi dire cul nu, ce qui ne se disait pas chez nous, mais du moins cette sensation d'être complètement les fesses à l'air...
Satisfaite de ce prélude, Maman tapota doucement une fois chaque fesse, commentant : "Voilà des fesses déjà redevenues bien blanches, à ce que je vois... C'est qu'elles sont résistantes à force de venir souvent sur les genoux de Maman, n'est-ce pas Christine ? Mais, crois-moi, elles vont vite retrouver de bonnes couleurs..."
Je sorti de ma torpeur, pour répondre à Maman, par une supplication : "Pardon Maman, pardon, je ne recommencerai plus... S'il te plait, pas la fessée, non..."
Maman ne me laissa pas en dire plus : "Tais-toi donc. Si, la fessée, bien sûr. Tu le sais bien, et pas une petite fessée comme tout à l'heure, tu vas voir..."


Maman avait tapoté une fois chaque fesse bien dégagée...
Avec un brin d'ironie dans la voix, elle avait constaté que
mes fesses étaient déjà "redevenues bien blanches..."
 Je la suppliais de m'épargner une nouvelle fessée...
Vu ma position, il était trop tard, bien sûr...
Au contraire, Maman me promettait que mes fesses
allaient "retrouver  de bonnes couleurs"

Je senti son bras gauche  resserrer son étreinte pour bien me bloquer, c'était le dernier signe avant-coureur de l'averse de claques. Elle commença par une série très vive d'une bonne vingtaine de claques données sans discontinuer, fortes et rapides, qui réveillèrent la rougeur de mon épiderme encore sensible de la première fessée de l'après-midi...
"Ah, Mademoiselle imite la signature maternelle, tiens, tiens, tiens ! Ah, elle se croit plus maline que Maman, tiens, tiens, tiens... Ah, ma grande fille croit pouvoir éviter la fessée promise par Maman, tiens, tiens, tiens, et tiens !!!" Maman commentait sa tannée comme pour se remotiver en rappelant les griefs qu'elle avait à mon encontre...
Une première pause de quelques secondes pour rajuster ma position, et constater que "voilà des fesses qui commencent à prendre des couleurs" et Maman reprit son oeuvre correctrice. Cette fois, par des claques plus espacées, plus précises, recouvrant méthodiquement toute la surface de mes fesses...
"Tiens, voilà ce que méritent les faussaires en herbe... Tiens, voilà pour t'apprendre à vouloir rouler tout le monde... Tiens, mais on ne trompe pas la vigilance de Maman longtemps, tiens, tiens, tiens ! Et, à l'arrivée, c'est Christine qui perd, tiens, tiens, tiens, à l'arrivée, c'est Christine qui prend une bonne fessée de plus, tiens, tiens, tiens, une tannée bien méritée..." poursuivait Maman.
Le monologue maternel associé à des claques méthodiques avait une efficacité maximale. J'étais passée des cris de la première salve, à des pleurs coulant à flots, alors que je sentais mon bas du dos devenir comme un radiateur incandescent...
"Oh, Maman, arrête, arrête, j'ai mal, j'ai trop mal. C'est fini, je t'en prie", ces mots m'étaient sortis de la bouche, avant que je comprenne que ce n'était pas ce qu'il fallait dire...
Cela ne fit que remotiver Maman : "Oh, que non, que ce n'est pas fini, Christine... Ce n'est pas toi qui commande, ah, non ! Tiens, tiens, tiens, et tiens ! Je veux que tu t'en souviennes longtemps de cette fessée, ma grande... Tiens, tiens, et sache que si tu avais envie de recommencer, ce serait pire encore, tiens, tiens, tiens..."


La fessée était interminable, alternant les séquences rapides
qui me faisaient crier, et les phases plus appliquées pour rougir
pleinement le moindre centimètre carré de ma lune...
Une tannée des grands jours, oeuvre d'une Maman très déterminée... 

Sa détermination regonflée à nouveau, Maman reprit cette tannée exemplaire par de nouvelles séries de claques, alternant les averses rapides et les séries appliquées...  Il y avait vraiment une volonté de bien faire, d'insister sur le message, sur la gravité de l'acte qui m'était reproché, et de l'associer à une déculottée magistrale...
Les séquences se succédaient, pas très longues, mais très douloureuses pour mon bas du dos, Maman reprenant son souffle entre chaque séquence, comme pour mieux jauger de l'efficacité d'une volée qui n'épargnait pas le moindre centimètre de ma lune devenue écarlate.
Lors d'une de ces mini-pauses, Maman re-desserra un peu l'étreinte, et je crus ma tannée finie. Je cherchai à redescendre de ses genoux, mais Maman tonna : "Hop, hop, hop, où vas-tu donc ? Ce n'est pas fini..." tout en bloquant ma tentative de fuite. Je tentai un instant de me débattre, lançant mes jambes en arrière, ce qui fit tomber ma culotte à mes chevilles, avant de ne tenir plus qu'à une d'entre elles.
J'y avais mis presque toute ma force, grognant fortement, criant presque, comme une sorte de révolte que Maman prit mal...
Elle attendit que je ne gigote plus pour me remonter parfaitement en position, me bloquant là, les fesses prêtes à recevoir la suite, mais prenant le temps de me sermonner encore : "Qu'est-ce que c'est que cette colère ? Mademoiselle n'est pas encore calmée ? Non, mais des fois... Depuis quand ce serait à la punie de décider quand ça suffit... Eh bien, non, Christine, non, ce n'est pas fini..."
Et sa main droite reprit sa claquée par une série vraiment très forte, qui me fit crier sans retenue... "Ah, voilà ce que j'appelle une bonne fessée, ma fille... De quoi t'ôter l'envie de recommencer... Tiens, tiens et tiens..."


Mon essai de fuite n'avait réussi qu'à remotiver Maman,
et je l'avais payé sur le champ par une série de claques
m'arrachant des cris, et m'ôtant l'envie de recommencer...

Je ne disais presque plus rien, me contentant de pleurer, de gémir, de pousser des cris à certaines claques plus douloureuses que d'autres.
Ma petite tentative de révolte et surtout la suite claquante m'avaient calmée. J'étais au bout du rouleau, épuisée, tout comme Maman devait l'être, car elle ralentissait le rythme...
Il y eut encore deux ou trois séries méthodiques avant que son bras ne s'arrête. Avant de desserrer l'étreinte, elle contempla son oeuvre, mes fesses écarlates, laissant échapper : "Ah, tu l'auras bien cherchée cette fessée, Christine" !
Elle écarta son bras gauche de mon dos et je glissai de ses cuisses, tombant à genoux, en pleurant et hoquetant.
Je restai un instant ainsi, comme sonnée, avant de me relever en titubant, puis je me penchai pour remonter ma culotte qui était entortillée autour de ma cheville gauche. Je la remis tant bien que mal, et fis quelques pas vers la porte, quand Maman, à son tour se remit debout, et m'interpella : "Hop, hop, hop, où vas-tu donc comme ça, Christine ?"
"Bah, je vais dans ma chambre, M'man, snif, snif", répondis-je entre deux sanglots.
Maman répliqua : "Tu remonteras quand je te le dirai, ma fille... En attendant, va donc te mettre le nez au coin pour réfléchir à ce qui vient de t'arriver". Et de désigner l'angle de la pièce, près de la fenêtre donnant sur le jardin.
"Mais, mais, euh, M'man", bredouillai-je, moi qui n'avais pas été mise au coin depuis bien des années...
Elle me coupa : "Il n'y a pas de "Mais, mais" qui tienne. Obéis tout de suite, si tu ne veux pas revenir sur mes genoux..."
 A SUIVRE